Habitat 44, partenaire du département

Fin 2020, le département de la Loire-Atlantique comptait plus de 1,4 M d’habitants

soit une variation annuelle moyenne de +1,2%.

Tendances à l’horizon 2030 (étude prospective de l’INSEE, du Département  et de l’AURAN – 2018) :

  • 1,55 millions d’habitants en Loire-Atlantique, avec une progression de 12 000 habitants par an ;
  • Des dynamiques de progression différenciées en fonction des territoires (une augmentation sensible sur Nantes métropole et les communes avoisinantes, au contraire des territoires de Redon et Châteaubriant);
  • Une forte tension sur le parc de logement, tant en production de nouvelles habitations que d’adaptation du parc ancien ;
  • Un vieillissement inéluctable : la part des plus de 60 ans passant de 23% de la population en 2015 à 28% en 2030 (soit 7000 de plus chaque année).
  • Une augmentation nette du nombre de jeunes de moins de 18 ans (environ 2000 individus supplémentaires par an).

 

2/3 des ménages de Loire Atlantique sont éligibles au logement social conventionné.

Depuis 2013, on constate une importante augmentation de la production de logements locatifs sociaux : En cinq ans le parc est passé de 74 000 à 84 000 logements avec un développement des opérations récentes aussi bien dans les agglomérations que dans les autres territoires de Loire-Atlantique.

Entre 2013 et 2017, 14 900 logements locatifs sociaux ont été construits en Loire Atlantique. 10 572 demandes de logements ont été satisfaites en 2017, dont 1145 par Habitat 44. Mais plus 40 000 demandes de logement HLM sont encore enregistrées sur le département.

Le nombre des demandeurs est majoritairement concentré sur Nantes métropole, suivi de la Carène, puis de Cap Atlantique. Or, l’offre disponible de logements HLM sur Nantes métropole ne permet de répondre qu’à moins d’une demande sur quatre, exprimée sur ce territoire. A l’inverse, le taux de satisfaction de la demande approche 41% sur le Pays de Redon, alors que les logements attribués ne représentent que 0,5% des attributions réalisées dans l’année. La stratégie de développement des bailleurs sociaux prend donc en compte la capacité des villes à apporter une solution aux demandeurs de logements.